Les masques à fenêtre transparente

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Depuis le 20 juillet 2020, toute personne de 11 ans et plus doit porter un masque dans les lieux publics, en complément de l’application des gestes barrières, au risque d’écoper d’une amende de 135 euros.

Si le masque protège la population de la COVID-19, il complexifie la vie des personnes sourdes et malentendantes qui utilisent la lecture labiale.

En effet, faire ses courses, aller chez le médecin, à la pharmacie,… tout cela devient plus compliqué en période de pandémie en raison des obstacles majeures à la communication.

Face à cette difficulté des modèles de masques, appelés « masques à fenêtre », ont été homologués. Ils disposent d’une partie transparente au centre, qui rend visible la bouche et permet de lire sur les lèvres de celui qui le porte.

Depuis le 18 janvier 2021, face à l’apparition des nouvelles variantes du virus, le Haut Conseil de Santé Publique préconise de privilégier les masques UNS1.

A ce jour, plusieurs fabricants français ont reçu l’agrément de la Direction Générale de l’Armement (DGA) et commercialisent ces masques lavables en conformité à la note d’information interministérielle du 29 Mars 2020 révisée le 28 janvier 2021,  définissant « une seule catégorie de masques dits masques « grand public filtration supérieure à 90% » ». Les masques de catégorie 2 ne font plus partie « des masques de protection utilisés pour faire face à l’épidémie de la covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire.

 

La SRAE Sensoriel n’est pas un fabricant de masques, mais le Ministère de l’Economie, des finances et de la relance a recensé tous les masques ayant validé les tests pouvant être commercialisés :

 

 

 

Des mesures exceptionnelles de prise en charge des masques inclusifs pour soutenir le recrutement et le maintien en emploi des personnes en situation de handicap

Dans la dynamique du Plan de Relance, les masques inclusifs participent à limiter l’impact de la crise sanitaire en matière de recrutement et de conditions de travail des personnes en situation de handicap.

Elisabeth Borne, ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, et Sophie Cluzel, secrétaire d’État auprès du Premier ministre en charge des Personnes handicapées, ont annoncé les dispositifs de prise en charge du financement des masques inclusifs par le FIPHFP (secteur public) par lAGEFIPH (secteur privé), et l’OETH (secteur privé sanitaire, social et médico-social à but non lucratif).